Il y a toujours eu plus de choses dans le monde que les hommes n’en pourront voir, si lentement qu’il leur plût de marcher; ils ne les verront pas mieux en allant vite.
John Ruskin |
Il y a toujours eu plus de choses dans le monde que les hommes n’en pourront voir, si lentement qu’il leur plût de marcher; ils ne les verront pas mieux en allant vite.
John Ruskin |
Lorsque tu voyages, […] tu te mets à accorder beaucoup plus d’importance à ce qui t’entoure parce que ta survie en dépend. Tu deviens plus accessible aux gens car ils pourront t’aider dans des situations difficiles.
Paolo Coelho |
Il n’y a pas de raccourci vers les endroits qui en valent la peine.
Beverly Sills |
Vient de paraître aux éditions Magellan & CieCet abécédaire invite au vagabondage parmi les mots du voyageur, mis en relief par une ou plusieurs citations. Le lecteur est libre de créer son propre itinéraire, choisir ses compagnons, prendre le temps de flâner ou de passer rapidement puis revenir, se laisser surprendre par une citation imprévue, une formulation percutante, une image colorée, un témoignage émouvant, un trait d’humour, des mots détournés, des mots légers qui surprennent le badaud à la lettre et au mot qu’il n’attendait pas. |
La frontière est mal tracée entre la civilisation et la barbarie: mettez un anneau dans votre nez, vous êtes un sauvage, mettez-en deux à vos oreilles, vous êtes civilisés.
Pearl S. Buck |
Admirons la louable franchise des chemins de fer qui, pour nous mettre en garde, inscrivent au front de toutes les stations le mot « gare ».
Albert Willemetz (1923) |
Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même. On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues…
Joseph Kessel |
Dans vingt ans, tu seras plus déçu par les choses que tu n’auras pas faites que par celles que tu auras faites. Alors largue les amarres, sors du port, attrape les alizés dans tes voiles. Explore. Rêve. Découvre.
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La condition piétonne doit son plus grand charme, non à la marche elle-même, ni au paysage, mais à la conversation.
Mark Twain |
A tout instant, le hasard vous envoie promener. En profitez-vous?
Paul Morand |