Qui traverse le désert apprend à connaître la valeur de l’eau. Qui voyage en mer apprend à connaître les dangers de l’eau. Qui ne connaît ni désert ni mer s’indiffère à la vue de l’eau.
Je donnerais toutes les suites du Carlton pour un bivouac et un feu de bois sec, pour de l’eau fraîche au creux des mains à faire ruisseler sur le torse nu, pour les frissons du bonheur aux premières lueurs.